Mason A. Blake ∫ Chercheur et soigneur de pokémon

Je suis Mason Aaron Blake et je viens de Bourg-Palette de la région de Kanto. Je suis né(e) le 31 octobre 1988 et oui j'ai 24 ans !! Au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, je suis un homme et je dois t'avouer que j'aime beaucoup les jolie femmes. Pour le moment, je suis chercheur et ça me plait plutôt bien. Avant que la loi soit voté, j'étais un ancien assistant d'un professeur et d'une gérante de plantes médicinaux. Je possède les badges d'aucune région.

Le jeune homme était le fils d'un champion Mark Blake. Dès sa naissance, il souriait déjà après avoir reçu une tape sur les fesses. C'était vraiment une salle habitude de la maternelle. Il vécut avec sa mère pendant un an, avant qu'elle ne décède pour donner vie à sa petite soeur, Silena. Heureusement que le monde des pokémons avait été là. Il se fit une promesse de resuivre la voie de sa mère pour être un grand soigneur et éleveur de Pokémon. L'enfance du gamin était assez courte à dire. Il avait été pris en stage chez le professeur Chen pour l'aider à s'occuper de tous ses pokémons. Il avait appris leurs caractéristiques et leurs modes de vies! La routine continua jusqu'à ce que soeur décide de devenir une championne de Pokémon.

À mes 15 ans, je pris mon pokémon starter qui fut bulbizarre. Il était vraiment parfait pour moi. Enfin, il était réputé pour être légèrement difficile à dresser, mais une fois que c'était fait il serait un super compagnon. Je me décidai de partir avec mon nouvel ami pour arriver à Jadielle. Après avoir vu dans quel état mon Pokémon a fini le combat. J'ai très vite compris que je ne serais jamais un grand maître Pokémon. Je me suis vite fait à l'idée que j'étais fait pour autre chose.

En continuant mon aventure, je suis tombé sur une pharmacie qui prenait des herbes de la région pour apprendre à faire des potions. J'ai réussi à rester avec la gérante du magasin pour qu'elle m'apprenne à vivre avec mon pokémon et que j'arrive à le soigner. Le plus grand secret, c'est qu'il fallait traiter un Pokemon comme un humain et non comme un objet. Je gagnais en expérience sur l'élevage et sur les potions médicinales.

Quelques années plus tard, quand j'avais 18 ans, j'ai repris le chemin avec des amis pourtant durant cette année tout changea. L'APP décida de fermer les arènes. En gros, j'étais vraiment pas contre ce changement. Les pokémons pourraient bien être tranquille, mais après.... Il fallait dire que les dresseurs devaient se séparer de ses pokémons. Le jeune homme se crocha sur ses études avec son bulbizarre pour apprendre plus profondément et obtenir le titre de chercheur pour de nouveaux remèdes. Il était financé par l'APP.

Quelques semaines plus tard, son bulbizarre avait disparu pendant qu'il s'était arrêté à une pension pour se rendre à la réunion de l'évolution des bulbizarre. Il n'avait compris que le matin quand l'infirmière Joëlle lui avait expliqué pour cet événement de l'année. Le jeune homme demanda à l'APP un permis pour avoir encore plus de pokémon et pouvoir se protéger en cas d'attaque. Il reçut une autorisation pour avoir deux nouveaux pokémons. Il les rencontra en chemin pour se rendre à Castelia.

Je vous laisse le soin d'imaginer comment il a fait pour les avoir. Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'ils sont inséparables et qu'il a bien souffert pour les avoir.

Êtes-vous favorable à l'interdiction des combats pokémons ? Bof, je pense que c'est inutile. C'est pas aujourd'hui que l'APP réussira à faire arrêter les combats.
Que pensez vous du permis de capture des pokémons ? J'ai du le passé. J'ai trouvé idiot... Même-moi, qui est le plus grand des crétins... J'ai réussi. Il faudrait mettre un test d'élevage ou de contrôle pour voir si le pokémon est bien soigné et heureux... Un permis. Où va le monde!
Participer à un mouvement actif visant à contourner la loi ou au contraire à la faire respecter ? Ou préférez vous rester discret ? Comme je l'ai dit, mon principale objectif est de faire que les pokémons soient heureux. Chacun a sa définition d'être heureux. Je n'hésiterais jamais à aider si quelqu'un en a besoin.